Dans le cadre de La BD fait son festival, j’ai eu l’occasion de recevoir l’une des bande-dessinée que j’avais choisi. Aimant l’atmosphère des pulps avec son lot de belles femmes et de détectives au passé trouble, j’ai décidé de lire :
« Blacksad, tome 1 : Quelque part entre les ombres » de Juan Diaz Canales et Juanjo Guarnido
Bonjour à toutes et à tous ! et surtout aux éventuels auteurs qui passeraient par là.
Suite à ma visite aux Imaginales cette année, j’ai rencontré Jonathan Reynolds qui m’a gentiment demandé de parler de ce prix, ce que je fais avec plaisir.
Joël Champetier est un auteur de science-fiction et de fantastique canadien qui s’est beaucoup investi dans les littératures de l’imaginaire québécois. La revue Solaris, à laquelle il a beaucoup contribué, décerne depuis 2016 un prix qui récompense un auteur de nouvelles non canadien écrivant en français . Les deux premiers lauréats étaient Olivier Paquet et Feldrik Rivat.
Si vous voulez être la ou le troisième, la date limite de participation est fixée au 31 août 2018 et le règlement est accessible à cette adresse.
Un tome bien meilleur que les précédents avec le retour de la mère de Ran et une énigme avec des horloges. Kogoro et Ran prennent un peu plus de place et ça change d’un Conan omniprésent.
Un tome qui ne diffère pas de la trame classique. Mention particulière à la confrontation avec le KID qui met Conan en difficulté et au mystère de l’école qui met un peu d’humour dans ces enquêtes plutôt sanglantes.
Dans le cadre de La BD fait son festival de PriceMinister, j’ai eu l’occasion de recevoir l’une des bande-dessinée que j’avais choisi. Forte dans sa thématique et dans son traitement, je vais vous parler de :
« Ces jours qui disparaissent » de Timothée Le Boucher
Deux enquêtes menées au bout dans ce tome avec l’apparition d’un nouveau gadget qui va s’avérer très utile. Ran tient le beau rôle dans la première et son personnage n’en devient que plus attachant. Pour la seconde, c’est le retour des petites détectives !
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